L’autogestion en travail social : une nécessité
Jonathan Louli, 2024, « L’autogestion en travail social : une nécessité », in Lien Social, n°1352 (janvier 2024), p.14
24 Juil 2024
Jonathan Louli, 2024, « L’autogestion en travail social : une nécessité », in Lien Social, n°1352 (janvier 2024), p.14
24 Juil 2024
Présentation du livre d’Alice Dumoulin dans le podcast Sons Rouges et Noirs
Durée : 15 mn
21 Juin 2024
Note de lecture de :
Ghislain Leroy, Sociologie des pédagogies alternatives, Paris, La Découverte, coll. « Repères », 2022, 126 p.
29 Juil 2022
Interview :
Audrey Guiller, 2022, « L’indépendance, meilleure réponse au besoin d’autonomie ? Entretien avec Jonathan Louli », dans Le Média Social, Longs formats : « En choisissant le libéral, ils bousculent le travail social », le 20 janvier 2022
Présentation :
Faisant suite à un article que j’avais publié sur le travail social indépendant dans Les Cahiers de l’Actif en 2020, un entretien pour Le Média Social dans le cadre d’un reportage « Long format » sur le travail social en libéral par Audrey Guiller
20 Juin 2022
Jonathan Louli, 2020, « Nomade en transhumance », dans Lien Social, n°1276-1277 : « Inventeurs au quotidien », p.24-25
17 Fév 2022
Note de lecture de :
Irène Pereira, 2017, « Paulo Freire, pédagogue des opprimé·e·s. Une introduction aux pédagogies critiques », Montreuil, Editions Libertalia, Collection N’Autre Ecole
26 Sep 2021
Note de lecture de :
Wilhelm Reich, Qu’est-ce que la conscience de classe ? Contribution au débat sur la reconstruction du mouvement ouvrier, Saint-Joseph-du-Lac, M Éditeur, coll. « Marxismes », 2018, 143 p., trad. Constantin Sinelnikoff, préface de Sébastien Roux
08 Juil 2021
Note de lecture :
Etienne Helmer, Diogène, 2014, Diogène et les cyniques ou la liberté dans la vie simple, Paris, Ed. Le Passager Clandestin, Coll. Les Précurseurs de la décroissance.
01 Mai 2021
Note de lecture du livre de Samuel Hayat, « Démocratie » (2020)
30 Oct 2020
(…) Le champ du travail social a commencé à se reconfigurer dans le dernier quart du XXème siècle, alors qu’il commençait à subir la montée du néolibéralisme dans l’appareil d’État. Au nom de l’indépendance du travail social, de nombreux professionnels en ont alors appelé à un renforcement de l’ « État-Providence » pour protéger leurs secteurs de la loi marchande du plus fort. D’autres, en revanche, dénoncent le fait que « l’art de la surveillance apparaît comme la voie la plus « moderne » du pouvoir », les actes et les populations étant de plus en plus soumis au contrôle du panoptique gestionnaire sur lequel s’échafaude l’appareil d’État contemporain. D‘autres professionnels encore tentent de déserter tout rapport de subordination salariale en expérimentant différentes formes de travail social indépendant. Mais ce que révèlent ces différentes positions, c’est que tous et toutes ont une exigence principale : travailler avec l’autonomie adéquate pour soutenir les personnes accompagnées dans le développement de la leur. Tous et toutes cherchent un modèle plus émancipateur d’activité, qui puisse pallier aux défauts des différents encadrements du travail social.
20 Août 2020
Commentaire à partir du texte de Bernard Eme, 2011, « Postures assignées, usages revendiqués de la talvera », in Journal des anthropologues, n° « Postures assignées, postures revendiquées », Hors-série, p. 21 – 49, disponible en ligne : https://journals.openedition.org/jda/5725.
La compréhension du monde social tient davantage de l’analyse de ses tensions internes, entre différentes polarités, que de l’explication linéaire et déterministe. Ainsi, les choses peuvent parfois prendre longtemps avant de faire sens pour le sujet planté dans un champ social. Ce n’est souvent qu’en s’éloignant du centre de ce champ qu’il ou elle, adoptant une autre posture, un autre regard, découvre des significations jusqu’alors inaperçues. C’est un peu ce qu’il s’est passé pour moi, qui aie redécouvert ces dernières semaines les implications de ce texte, rédigé par mon ancien professeur, Bernard Eme (1948 – 2015), peu de temps avant sa disparition. J’avais lu et même relu ce texte, il y a plusieurs années, pendant mes études de sociologie et d’anthropologie, et pendant mes recherches sur les pratiques des travailleur.euse.s sociaux. Mais il n’a jamais eu autant de sens que maintenant où je me retrouve moi-même pleinement en marge à la fois de la recherche universitaire, et de la pratique professionnelle de terrain, traçant mon chemin en suivant la talvera, la bordure, de ces différents champs… Voici un premier retour, à chaud, sur cette invitation à une socio-anthropologie des polarités, comme disait Bernard, à la « flânerie » en marge des champs institués…
05 Juin 2020
Le sens de nos engagements dans le social est mis à mal, et l’appel à la notion de « politique », loin de faire consensus, peut être contre-productif. Ne s’agirait-il pas de reprendre les choses « à la racine », c’est-à-dire de fonder une éthique radicale au service de la démocratisation de nos métiers et de notre société ? Réponse en version écrite et podcast radio !
01 Mai 2020
Note de lecture du n°25 de la revue De(s)générations, intitulé « Par-dessus bord », sorti en juillet 2016
18 Oct 2016